Mais pourquoi diable ...

faire appel à un consultant ?

C'est vrai quoi !!!

Après tout, ...

Un consultant, ça coute super cher !
Un consultant pour causer, il cause, mais pour mettre les mains dans le cambouis, y’a plus personne !
Pour vous expliquer quoi faire, les “YAKAFOKON”, ils sont champions, mais pour vous dire “COMMENT faire” y’a plus personne !
Les trois quarts du temps, les consultants, ils connaissent même pas notre métier !
Ça fait vingt ans que je soude, c’est pas un consultant qui va m’apprendre à souder !!! *
Etc., Etc., Etc.

* Cela fonctionne aussi avec plein d’autres verbes, comme Usiner, Monter, Assembler, Imprimer, Emballer, Préparer des commandes, … la liste est longue 😉

Si vous le voulez bien, soyons factuels

“ Un consultant, ça coûte super cher ! ”

Dit comme ça… c’est vrai ! Mais Einstein ne disait-il pas : “ Tout est relatif ! ”

Alors oui, je pourrais vous parler de mon expérience, oui, je pourrais vous parler de mes connaissances, de mon niveau d’étude, etc. …

mais je préfère de loin vous raconter quelques anecdotes …

Par exemple, ce dirigeant de PME qui me dit:

Mes copains patrons me disent que je suis fou de payer un consultant qui vient tous les mois. Mais, moi je suis content de payer … c’est “que dalle” à coté de ce que cela nous a apporté !!!

Par exemple, ce directeur de production avec qui nous faisons le point après un chantier de deux jours. Il me dit :

Voilà, Eric, entre les gars qui n’ont pas produit, mais qu’on a payés durant ton intervention, ton coût + l’hotel + frais de déplacement… cela à couté 3 500 € à l’entreprise.
Ton intervention a permis un gain de productivité de 22 % et une économie de gaz de 30 % sur le poste du chantier.
De plus, ces améliorations peuvent être utilisées pour d’autres références produites à ce poste.
Au global, grâce à ce chantier, nous estimons que la boite va gagner entre … 70 et 80 k€ par an !!!
Et puis, ton intervention ne coûte qu’une seule fois, mais l’entreprise elle, elle gagne tous les ans !!!
Tu reviens quand tu veux !

Par exemple, lors d’une intervention il y a quelques années, au CJD d’Angers, devant 150 patrons…

Organisé par le CJD, nous présentons, avec quelques entreprises qui se sont lancées, les principes et concepts fondamentaux du Lean. À la fin de la session vient le traditionnel échange de questions/réponses. Après quelques questions un peu techniques, un jeune dirigeant m’interpelle et me dit :

“Tout ça, c’est bien joli, mais combien ça coûte?”
Je lui lui réponds gentiment: “Vous pouvez légitimement vous demander combien ça coûte . Mais en retour, je vous demande … Combien ça rapporte?”

Tout le monde a souri puis nous sommes passés au cocktail…

Durant ce moment de détente, j’échange avec quelques participants lorsqu’une dame m’interpelle et me dit:

Je travaille chez Axa, les assurances. Cela fait trois ans que nous avons lancé un programme d’excellence opérationnelle. Il y a peu, nous avons fait les comptes. En trois ans cela nous a couté 72 000 €… et cela nous a rapporté 3 M€!!!

Par exemple, je pourrais vous raconter cette “blagounette” entre deux patrons :

Le premier dit :

“Tu te rends compte de ce que me coûte la formation de mon gars ?!!! Et imagine qu’il quitte l’entreprise après avoir été formé !!!”

Le second lui répond avec un petit sourire au coin des lèvres :

“C’est vrai, c’est cher ! Mais tu te rends compte ce que ça te coûte si tu ne le formes pas… et qu’il reste ?!!!”

Si vous trouvez que la formation coûte cher, essayez L’IGNORANCE !!!

Vous l’aurez compris.

Si vous ne considérez notre intervention, que comme un coût, c’est une vision “court terme”, nous serons toujours “trop chers”… et nous ne pouvons que vous déconseiller de vous lancer dans le Lean.

En revanche, si vous voyez notre accompagnement comme un investissement, c’est une vision “long terme” et nous pouvons alors envisager de travailler ensemble

“ Un consultant, pour causer, il cause, mais pour mettre les mains dans le cambouis, y’a plus personne ! ”

Il est vrai que nous ne nous connaissons pas encore…

Dans ma vie professionnelle, j’ai été “des deux côtés de la barrière”. Opérationnel, chef de projet, consultant interne ou consultant externe.

Mais dans tous les cas, je me revendique comme “un homme de terrain”. Pourquoi ? Mais parce que j’aime ça !

Que ce soit dans des ateliers ou des bureaux, j’aime (et je dois) aller VOIR comment ça se passe (« dans la vraie vie »).

Et c’est aussi la raison pour laquelle je me sens bien dans les PMEs et les ETIs …

Alors, vous ne prenez pas un grand risque à me rencontrer… et en plus, c’est gratuit !!!

“ Pour vous expliquer quoi faire, les “YAKAFOKON”, ils sont champions, mais pour vous dire “COMMENT faire”, y’a plus personne ! ”

Oui et non. C’est vrai et ça ne l’est pas.

Nous ne sommes pas dans Harry Potter; nous n’avons pas de baguette magique.

En effet, votre entreprise est unique. Son histoire, ses collaborateurs, sa structure et son environnement… tout cela la rend unique.

Unique, mais par bien des aspects, si semblable aux autres.

L’organisation est un aspect négligé dans toutes les entreprises, petites comme grandes. Il n’est donc guère étonnant de retrouver les mêmes symptômes “plomber” la performance. Et la plupart du temps, ces symptômes ont les mêmes causes racines !

En revanche, les réponses à apporter vous sont propres !

Et là, notre accompagnement prend tout son sens. Nous vous guidons en apportant notre regard extérieur. Et ce regard, il s’est enrichi, au fil des années, de toutes les situations que nous avons rencontrées. Nous vous dirons comment ont fait les autres dans des situations similaires. Nous vous ferons profiter de leurs succès, leurs erreurs, leurs doutes, leurs convictions… et des nôtres.

Notre “job” est de vous montrer la route à prendre. Notre “job” est de vous convaincre de la route à prendre. Notre “job”, c’est d’être un copilote…

Mais finalement … c’est toujours vous qui pilotez !

“ Les trois quarts du temps, les consultants, ils ne connaissent même pas notre métier ! ”

Est-ce vraiment un problème ? Ou est-ce une force ?

N’avez-vous jamais demandé à un stagiaire qui vient de passer une semaine dans votre entreprise son “rapport
d’étonnement” ?

Alors, il est vrai que parfois cela fait perdre un peu de temps à expliquer comment se font les choses. Mais ne dit-on pas “qu’enseigner, c’est apprendre deux fois ?”

Permettez-moi de vous raconter une anecdote :

Lors d’une intervention dans une entreprise, la responsable d’un atelier, Corine, me fait visiter sa zone de travail et m’explique “comment cela se passe”.
À un moment, je lui pose une question sur son outil de production… et elle ne sait pas me répondre. Nous continuons la visite.
5 minutes après, je lui pose une seconde question toujours sur son atelier… et elle ne sait pas me répondre. Nous continuons la visite.
5 minutes après, je lui pose une troisième question … et elle ne sait pas me répondre.
Je lui demande alors :
– Eric : Corine, depuis combien de temps travaillez-vous dans cet atelier ?
– Corine : Cela fait 15 ans
– E : Corine, on peut dire que votre atelier vous le connaissez “sur le bout des doigts” ?
– C : Oh alors ça OUI, je le connais par cœur !
– E : Alors, puisque vous le connaissez par cœur, comment se fait-il que vous n’ayez pas su répondre aux trois questions que je vous ai posées durant la visite? Elles portaient bien toutes sur votre atelier…
Finalement, Corine, pensez-vous toujours le connaitre si bien que cela votre atelier ?

Ce jour-là, Corine s’est trouvée toute décontenancée. Elle était très surprise.

Pas besoin de connaitre son métier. Mes questions, sur le flux, lui avaient fait voir son atelier “sous un œil nouveau”

“Ça fait vingt ans que je soude, c’est pas un consultant qui va m’apprendre à souder !!!”

HEUREUSEMENT !!! Je ne suis pas là pour ça !!!

Je me souviens encore de Christophe, soudeur depuis vingt ans qui m’accueille sur son poste parce que son patron a décidé de faire un chantier de progrès sur sa zone. Accueil poli, mais très, très réservé … 😊

Je me souviens aussi de sa surprise lorsqu’il a appris qu’il parcourait 73 mètres chaque fois qu’il filmait manuellement une palette de produits finis. Il n’en croyait pas ses oreilles…

Quel ne fut pas son étonnement, lorsqu’il a vu son collègue de l’autre équipe travailler. Christophe m’a dit “moi, je ne fais pas comme ça”. Après quelques rapides mesures et calculs, Christophe se déplaçait 351 km/an dans une zone de 3 m sur 4, alors que son collègue ne se déplaçait que 151 km/an, pour le même travail, … dans la même zone !

Puis Christophe a eu bien d’autres surprises durant ces deux jours de chantier…

À la fin du chantier… nous étions “les meilleurs copains du monde”!